LA GESTION DE CONFLITS
De part ma formation au coaching et notamment le module les outils de la médiation au service du coach en 2017, j'ai développé mes capacités d'écoute active et de reformulation.
- Processus conduit par un tiers nommé médiateur permettant aux parties d’engager des discussions qui leur permettront de trouver un libre accord
- Le médiateur aide les parties dans leur réflexion et leur décision, il fait émerger les décisions des parties
Catheleen Norris : « Les gens se sentent seuls parce qu’ils construisent des murs
plutôt que des ponts. »
De part mes compétences j'interviens en gestion de conflit sur les principes de la médiation avec les outils et la posture du médiateur
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Les principes de la gestion de conflits :
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L’altérité
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Impartialité, la neutralité
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Position non-jugeante
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Confidentialité des échanges
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Responsable du déroulement du processus
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L’adhésion des parties est nécessaire
L’altérité (principes) pour toutes les parties
Il vaut mieux se situer dans un contexte d’altérité que d’adversité.
Considération de l’autre avec un apriori positif.
Souhait de rapprochement des points de vue.
L’autre n’est pas un rival qu’il faut combattre pour le dominer.
Position non-jugeante de l'intervenant
Le médiateur ne doit pas s’égarer sur l’analyse des causes, des effets, ni sur la recherche des responsabilités.
Il ne doit pas lui-même entrer en conflit avec les parties ou prendre part.
Le médiateur ne porte pas de jugement sur l’une ou l’autre des parties.
Il n’est ni juge ni arbitre.
Il n’est pas professeur de morale ou donneur de leçons.
Impartialité et neutralité de l'intervenant
Doit donner le sentiment à chaque partie qu’il va l’aider.
L’aide apportée n’est pas au bénéfice d’une partie au détriment de l’autre.
Le médiateur doit être vigilant par rapport aux sentiments de sympathie/ antipathie qu’il peut éprouver.
Le médiateur est tenu au secret professionnel et doit assurer la confidentialité des échanges qui se tiennent en sa présence.
Le médiateur n'a aucune obligation de résultat, dans une médiation
La responsabilité du processus
Le médiateur est responsable de la conduite de la médiation.
Il doit être assertif :
- directif dans la forme.
- non directif dans le fond.
- attentif au respect des modalités pratique et du respect des personnes.
Le médiateur doit veiller à ce que les échanges ne soient pas biaisés par des manipulations ou par des erreurs de jugement d'une des parties.
L’adhésion des parties
L’adhésion est différente de l’acceptation.
Les parties doivent adhérer librement. En c'est elle qui conditionnera ou non l'aboutissement vers une solution librement discutée et validée par les parties
La compréhension des parties sur l’objectif et le processus doit être réelle

